pas possible...
... ça fait pas un mois sans blogging!
et si, je suis une mère impardonnable car pendant ce temps le père fait du jogging, du powerplating et que sais-je encore!
Mais il y a eu les vacances sans connexion (bonne excuse, mais justement y a plein de photos et de choses à raconter maintenant...)
Et pour tout dire, il y a surtout eu - on peut le révéler désormais c'est plus qu'officiel et bien visible - une grosse phase cocooning/marmotting/bellygrowing pour la bientôt deux fois mother!
Voilà en résumé le résultat de ce qu'on vient de lire :
- un papa marchant d'un bon pas avec son fiston pour jouer au sable de la plage du Large
- une maman allongée au soleil surveillant un peu le fiston qui joue à l'ordi
Et vous c'était bien les vacances? prêts pour attaquer le mois de mai et ses ponts pleins de voyages???
Libellés : bébé au chaud, cabellou, farniente
posted by MaLi @ 4/25/2007 05:38:00 AM
1 comments
1 Comments:
Alor sympas ces vacances troublées par l'appel d'un informaticien néophyto-désespéré... mon Mac m'adore, merci aux femmes de bon conseil ! allumage en 25 sec top chrono, au boulot en 30 sec après avoir osé ouvrir sa coquille de nacre, du bonheur online sans se prendre le chou, interfaces démentiellement fluides, agréables et simplement complexes, du gros son de ouf-malade, une classe irréprochable... beaucoup meiux quand on bosse rive gauche ou qu'on taffe une licence absconse par moments :
"En 221-220, à la suite d'une apparition de la déesse de Magnésie (Artémis Leukophryénè, dont l'épiclèse est vraisemblablement toponymique) à sa prêtresse, Aristo, les gens de Magnésie ont consulté l'oracle d'Apollon Pythien qui leur répondit que les affaires iraient mieux pour ceux qui honoreraient Apollon Pythien et Artémis Leukophtyénè et reconnaîtraient la cité et le territoire de Magnésie comme sacrés et inviolables."
Voilà qui vous remet les pendules à l'heure électorale...
Ravis de vous savoir ravis par la rêve-party cabellouphoque. Le bout'd'chou reste un mignon du IVe même en balnéo familiale ! Quant au successeur (successrice ?!) on n'attend qu'avec impatience son succès, pour septembre, isn't it ?
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